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27 novembre 2011 7 27 /11 /novembre /2011 14:40

 

 

http:// grammaire-et-logique.tract-8.over-blog.com.

 

  Le site grammaire-et-logique. tract-8 de Jean-François  Monteil comprendra désormais deux parties: I- les knogs ou action dans wikipedia. II- les knol-C. La lettre C indique qu'il s'agit de continuer le système des knols que Google a mis en place en 2007 et qu'il supprimera le premier mai 2012.  

 

  Google mettant  fin dans cinq mois au système des knols, les knols de Jean-François  Monteil seront donc transférés dans la Partie II du  site  :  blog grammaire-et-logique. tract-8.

  http:// grammaire-et-logique.tract-8.over-blog.com.

 

Ils apparaîtront aussi, et toujours sous le nom de

Knol C , dans le site personnel que Jean-François Monteil a créé en Mars 2009.

  http://www.grammar-and-logic.com

 

 

Quelque chose aussi sur un site de Bordeaux 3:

  http://erssab.u-bordeaux3.fr

 

Accueil du site > membres > collaborateurs > Jean-Francois Monteil
Jean-Francois Monteil
Dernier ajout : 17 mars 2009.
Articles de cette rubrique

 

  L' équipe de recherche en syntaxe et sémantique à Bordeaux a été créée il y a une vingtaine d'années par le Professeur Claude Muller.
 

Jean-François Monteil

ancien Maître de conférences de linguistique générale à l'Université Michel de Montaigne de Bordeaux.    jean-francois.monteil@neuf.fr 
Implication stricte

En logique mathématique, l'implication stricte est une construction de Clarence Irving Lewis (en) basée sur la logique modale. L'objectif de l'implication stricte est d'éviter les apparents paradoxes de l'implication logique, qui est appelée dans ce contexte implication matérielle. Par exemple le fait, appelé ex-falso quodlibet (en), qu'un énoncé contradictoire implique tout énoncé1,2.

Sommaire

 [masquer

The embarrassing paradoxes of the material implication having incited Clarence Irving Lewis to look for a formula of strict implication
The implication in the traditional sense is called material implication. It imposes to the mind embarrassing paradoxes: if a proposition is false, it implies any other proposition, if a proposition is true, it is implied by any other proposition.

To be well aware of the problem posed by implication in the traditional sense, it is not bad to give an example. Let us suppose that we are in a position to say: "The weather will not be fine this afternoon". If such is the fact envisaged, namely, a bad weather, the proposition "The weather will  be fine this afternoon"  is false. The paradox is that this false proposition "The weather will  be fine this afternoon"  implies the proposition "we'll drive to Arcachon" as well as the proposition "we will not drive to Arcachon". Let us recall the traditional reading of the implication of q by p: if p, then q and let us see the result if the bad weather is the state of things.  " The weather will not be fine. Therefore, if the weather is fine, we will drive to Arcachon on the one hand and we won't drive to Arcachon on the other."  Dans ce qui suit, nous expliquerons pourquoi à partir de la définition de l'implication dite matérielle, on peut arriver à un tel énoncé qui met mal à l'aise, c'est le moins qu'on puisse dire.

La définition de l'implication stricte donnée sur wikipedia et donnée aussi par John Lyons dans Semantics 1[modifier]

Elle consiste à dire ceci: le fait p implique strictement le fait q s'il est im- possible d'avoir la conjonction du fait p et du fait non-q. Selon cette définition, p implique strictement q si on peut écrire: ~M (p & ~q) . L'expression ~M (p & ~q) est à lire : ~M il est im-possible, p & ~q d'avoir à la fois p et non-q. Il semble à première vue que cela représente une relation causale entre un fait p et un fait q. Indéniablement, si le fait p est la cause d’un effet, à savoir le fait q, on a nécessairement ~M (p & ~q) impossibilité d'avoir à la fois le fait p et le fait non-q. L'état de choses ~M (p & ~q) est, de toute évidence, une condition nécessaire de l'implication stricte de q par p. L'état de choses ~M (p & ~q) est-il la condition suffisante de l'implication stricte du fait q par le fait p ? La réponse est non. ~M (p & ~q) est seulement l'un des trois ingrédients composant l'implication stricte. Il faut ajouter successivement deux autres ingrédients.

 

Mp est le deuxième ingrédient qu'il faut ajouter au premier ingrédient ~M (p & ~q)[modifier]

Mp c’est-à-dire la possibilité du fait p est le deuxième ingrédient qu’il faut ajouter au premier ingrédient ~M (p & ~q) si l’on veut avoir la formule de l’implication stricte de q par p. Mp possibilité du fait p est le fait contradictoire de ~M p im-possibilité du fait p ou, ce qui revient au même L~p certitude du fait non-p. S’il est certain que le fait p est exclu, s’il est certain qu’on a le fait non-p, si en d’autres termes il est im-possible d’avoir le fait p, il est évident qu’il est im-possible d’avoir la conjonction du fait p avec le fait non-q, il est évident également qu’il est impossible d’avoir la conjonction du fait p avec le fait q. L’impossibilité du fait p : ~M p équivaut à ~M (p & q) & ~M (p & ~q) c’est-à-dire im-possibilité de la conjonction p & q d’une part, im-possibilité de la conjonction p & ~q d’autre part. Il en résulte que si l’on a ~M (p & ~q), im-possibilité de la conjonction p & ~q, cela ne signifie pas forcément que p implique strictement q, que p est la cause de q. Rien en effet ne nous dit que ~M (p & ~q), im-possibilité de la conjonction p & ~q ne provient pas du fait que le fait p est im-possible. Comment p pourrait-il être la cause d’un fait q, s’il est avéré qu’il est im-possible. Pour que p soit pensé comme la cause de q, pour que p implique strictement q, il faut qu’il soit possible. Nous devons donc ajouter au premier ingrédient ~M (p & ~q) un deuxième ingrédient Mp et poser ~M (p & ~q) & Mp. Ce deuxième ingrédient Mp a pour effet d’exclure la séquence ~M (p & q) & ~M (p & ~q), incompatible avec l’implication stricte de q par p puisque en posant la non-réalité du fait p, elle interdit forcément à ce fait p de fonctionner comme cause. ~M (p & ~q) & Mp , la séquence des deux éléments ~M (p & ~q) et Mp, est donc une condition nécessaire de l’implication stricte de q par p. La séquence ~M (p & ~q) & Mp est-elle une condition suffisante pour que p soit pensée comme la cause de q, pour que p implique strictement q ? La réponse est non.

 

Nécessité du troisième ingrédient éliminant le cas où l'on a Lq certitude du fait q en tout état de cause qu'on ait p ou non-p[modifier]

Envisageons en effet l’état de choses suivant : le fait q est absolument certain en tout état de cause, que l’on ait le fait p ou que l’on ait l’exclusion du fait p autrement dit le fait non-p. Dans le cas on l’on a Lq certitude de q en tout état de cause, que l’on ait p ou non-p, on a ~M~q im-possibilité du fait non-q car Lq, certitude du fait q, et ~M~q, impossibilité du fait non-q, c’est strictement la même chose. S’il est im-possible d’avoir non-q , il est im-possible que ce non-q soit associé à p, certes, mais il est tout aussi im-possible que ce non-q soit associé à non-p. L’ im-possibilité de non-q : ~M~q équivaut à la séquence disant que sont toutes deux im-possibles la conjonction de non-q avec p et la conjonction de non-q avec non-p. L’im-possibilité de non-q : ~M~q équivaut à ~M (p & ~q) & ~M (~p & ~q). Il en résulte que si on a la séquence ~M (p & ~q) & Mp seulement, l’on est incapable de dire que ce fait représenté par cette séquence ~M (p & ~q) & Mp ne provient pas du fait que l’on a Lq certitude du fait q en tout état de cause, que l’on ait p ou non-p. Il faut donc un troisième ingrédient pour éliminer ce cas où on a Lq, que l’on ait p ou que l’on ait non-p. Si q est certain en tout état de cause, on ne peut absolument pas considérer que cette certitude du fait est l’effet exclusif du seul fait p . Quel est ce troisième élément ? C’est un élément qui dit qu’on peut avoir non-p et que ce non-p est compatible avec q et avec non-q tandis que p, lui, n’est compatible qu’avec p. Impossible d’en dire plus aujourd’hui. Mon conseil pour les gens curieux et pressés. Taper sur Google : strict implication, implication stricte, traité de logique modale, John Lyons Semantics 1 implication.

p ≡ Lq est peut-être l’expression symbolisant l’implication stricte[modifier]

L’expression p ≡ Lq dit que p équivaut à Lq, la certitude du fait q. La forme développée de p ≡ Lq est (p & Lq) w (~p & M~q, De deux choses l'une, ou bien on a le fait p et dans ce cas Lq, la certitude du fait q, ou bien on a le fait non-p et dans ce cas on a M~q, la possibilité du fait non-q. L'alternative (p & Lq) w (~p & M~q),la forme développée de p ≡ Lq, permet de découvrir les trois ingrédients de la stricte implication de q par p, qui ont été énumérés ci-dessus. Premier ingrédient: ~ M (p & ~q). Deuxième ingrédient: Mp. Troisième ingrédient: ~p → M~q.

Le premier ingrédient ~ M (p & ~q) dit qu'il est impossible d'avoir à la fois p et non-q. Le deuxième ingrédient Mp dit que p est possible et indique ainsi que ~ M (p & ~q) ne résulte pas de ~Mp impossibilité de p. Le troisième ingrédient ~p → M~q dit que le fait non-p implique la possibilité du fait non-q, en d'autres termes, ~p → M~q, ce troisième ingrédient, exclut que l'on ait Lq,certitude de q, en tout état de cause, que l'on ait p ou non-p.

Pour pouvoir attribuer à un fait p le statut de cause par rapport à un fait q, il est clair que le fait p doit être jugé possible. Comment pourrait-on dire que p a un effet q si p est réputé d'emblée im-possible, que l'on ait q ou non-q ? Il est non moins évident que si le fait q est certain en tout état de cause, qu'on ait le fait p ou qu'on ait le fait non-p, il est im-possible de penser que la certitude du fait q est l'effet du seul fait p.

p ≡ Lq, c'est donc la conjonction de trois éléments: ~ M (p

 

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27 novembre 2011 7 27 /11 /novembre /2011 14:40

 

FR MNC Pour les visiteurs de wikipedia francophone, brève description de l’ hexagone logique de Robert Blanché se trouvant dans l’article Logical hexagon de wikipedia anglophone.

3 juil

 

 

 

L’hexagone et ses 6 postes:
A E I O + Y  U



Pour comprendre l’article Hexagone logique de wikipedia francophone, il est utile d’avoir une représentation de l’hexagone logique. Il est donc conseillé de taper  sur Google: Logical hexagon.  L’article Logical hexagon de wikipedia anglophone montre cette figure. Le carré traditionnel y apparaît sous la forme d’un rectangle A E I O. Le symbole de la troisième contraire de Blanché: Y apparaît au-dessous du carré aplati et dessine avec les deux contraires traditionnelles A et E un premier triangle: A E Y. Le symbole de la troisième subcontraire de Blanché: U apparaît au-dessus du carré et dessine avec les deux subcontraires traditionnelles  I et O un second triangle. L’hexagone consiste donc à représenter la première triade A E Y par les sommets d’un premier triangle et à représenter la seconde triade U I O par les sommets d’un second triangle.
Les deux triangles équilatéraux en question sont symétriques par rapport à leur centre de gravité. Par rapport à ce centre,  la contraire A et la subcontraire O, mutuellement contradictoires, sont symétriques.  Sont symétriques de la même façon,  la contraire E et la subcontraire I, mutuellement contradictoires, la contraire Y et la subcontraire U, mutuellement contradictoires.
Dans l’article Hexagone logique de wikipedia, il est dit que les éléments de la première triade sont les trois contraires et ceux de la seconde triade sont les trois subcontraires. L’hexagone est construit selon les mêmes principes que le carré : comme le carré, il est composé de deux parties symétriques. Les symboles de l’une sont reliés par une ligne continue, les symboles de l’autre par une ligne en pointillés.
La ligne continue symbolise la relation d’incompatibilité existant entre les contenus de deux contraires. De toute évidence, les contenus de A et de E sont incompatibles. Par exemple, il est impossible  que dans une cour de récréation la totalité des élèves joue aux billes et qu’aucun d’entre eux n’y joue. Les contenus de E et de Y sont incompatibles.  Il est impossible qu’ aucun des élèves ne joue aux billes et que simultanément une partie d’entre eux y jouent.
La ligne en pointillés symbolise la relation de compatibilité existant entre les contenus de deux subcontraires. Par exemple,  U symbolise l’exclusion de la quantité partielle, quantité partielle constituant le contenu de Y.   I  symbolise l’exclusion de la quantité zéro, quantité zéro constituant le contenu de E. Il est clair que les deux subcontraires U et I sont compatibles. En effet, si on a le contenu de A, l’universelle affirmative, si on a ce qu’on peut appeler totalité,  quantité partielle constituant le contenu de Y et  quantité zéro constituant  le contenu de E sont toutes les deux exclues. De la même façon, U qui symbolise l’exclusion de la quantité partielle Y d’une part et O qui symbolise l’exclusion de la totalité A d’autre part sont compatibles. En effet, si nous avons le contenu de E, universelle négative, si donc nous avons la quantité zéro, la quantité partielle appréhendée par Y et la totalité appréhendée par A sont toutes les deux exclues. La compatibilité des subcontraires I et O est encore plus évidente, puisque, dès le départ, le contenu de Y, la troisième contraire de Robert Blanché, est explicitement définie comme la conjonction des contenus de I et de O, les deux subcontraires représentées dans le carré traditionnel.

 

 

 

 

 

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pour avoir la liste de tous les knogs du site

Action de Jean-François Monteil dans Wikipedia. Grammaire-et - logique ...

 

 

Cliquer sur  mindnewcontinent puis sur KNOLmnc Liste et classification des KNOLs mnc pour avoir la liste complète des articles transférés dans ce blog de wordpress et appelés pour cette raison KNOLmnc.
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27 novembre 2011 7 27 /11 /novembre /2011 14:39

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  L' équipe de recherche en syntaxe et sémantique à Bordeaux a été créée il y a une vingtaine d'années par le Professeur Claude Muller.

 

 

Plan de l'article refusé en 2005 par le British Journal for the History of Philosophy sous l'influence du rapport reproduit dans le KNOG JUXTAPOSITION

 

 

 

Contents

 

Abstract and key words

Résumé et mots clés

A Preliminary remarks

On the logical triangle and the rationalization of the scholastic symbolization

 

B- The article proper

 

Introduction

 

I-1 Quantification and matter of the propositions studied.

I-2Homonymy relative to a fact p and the corresponding proposition p. 

 

II-1  The two triads:

       -the three contraries: T, Z, non-T & non-Z

       -the three subcontraries:exclusion of non-T & non-Z, non-Z, non-T

II-2 The square, the hexagon, the triangle

 

II-3 Correspondences. Reading of logical propositions

 

III-1 The three pairs of contradictories in the system of natural language

III-2 Importance of contradiction. The paradoxical sign

III-3 The contrary facts, apprehended by the underlying logical system, become contradictory in the system of natural language.

III-4 Natural particulars are saturated with information, logical particular are not.

 

Conclusion.

 

C- Bibliography  Notes Complements

 

 

 

Résumé et Mots clés

Abstract and Key words

 

A-Remarques préliminaires.

   Sur le triangle logique et la rationalisation de la symbolisation scolastique.

 

 

B- L'article proprement dit 

 

I-1  Quantification et matière des propositions étudiées

I-2  Homonymie relative au fait p et à la proposition p correspondante 

 

II-1  Les deux triades :

                 - Les trois contraires:

           T , Z ,   Non-T & Non-Z

           - Les trois subcontaires:

    exclusion de   Non-T & Non-Z, exclusion de Z, exclusion de T 

 II-2  Le carré, l’hexagone, le triangle

 II-3  Correspondances. Lecture des propositions logiques

 

III-1 Les trois couples de contradictoires dans  la langue naturelle

III-2  Importance de la contradiction. Le signe paradoxal

III-3  Les faits contraires appréhendés par le système logique sous-jacent deviennent  des faits contradictoires  dans le système de la langue naturelle

III-4 Les particulières naturelles sont saturées d’information, les particulières logiques ne le sont pas. Les particulières logiques contiennent moins d’information que les particulières naturelles.
Conclusion

C Bibliographie. Notes. Compléments

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

          

 

 

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27 novembre 2011 7 27 /11 /novembre /2011 14:38

 

 

 

 

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Jean-François Monteil

ancien Maître de conférences de linguistique générale à l'Université Michel de Montaigne de Bordeaux

 

jean-francois.monteil@neuf.fr

 

 

Le présent knog est identique au knol-C suivant: FR Knol-C 003 Du carré logique à l'hexagone. A la British Society for the History of Philosophy.

  Il est important pour la logique et la linguistique générale de substituer au carré logique d'Apulée l'hexagone logique de Robert Blanché .

 

 

   

Plan de l'article refusé en 2005 par le British Journal for the History of Philosophy sous l'influence du rapport reproduit dans le KNOG JUXTAPOSITION

 

 

Résumé et Mots clés

Abstract and Key words

 

A-Remarques préliminaires.

   Sur le triangle logique et la rationalisation de la symbolisation scolastique.

 

 

B- L'article proprement dit 

 

I-1  Quantification et matière des propositions étudiées

I-2  Homonymie relative au fait p et à la proposition p correspondante 

 

II-1  Les deux triades :

                 - Les trois contraires:

           T , Z ,   Non-T & Non-Z

           - Les trois subcontaires:

    exclusion de   Non-T & Non-Z, exclusion de Z, exclusion de T 

 II-2  Le carré, l’hexagone, le triangle

 II-3  Correspondances. Lecture des propositions logiques

 

III-1 Les trois couples de contradictoires dans  la langue naturelle

III-2  Importance de la contradiction. Le signe paradoxal

III-3  Les faits contraires appréhendés par le système logique sous-jacent deviennent  des faits contradictoires  dans le système de la langue naturelle

III-4 Les particulières naturelles sont saturées d’information, les particulières logiques ne le sont pas. Les particulières logiques contiennent moins d’information que les particulières naturelles.
Conclusion

C Bibliographie. Notes. Compléments

 

 


Contents

 

Abstract and key words

Résumé et mots clés

A Preliminary remarks

On the logical triangle and the rationalization of the scholastic symbolization

 

B- The article proper

 

Introduction

 

I-1 Quantification and matter of the propositions studied.

I-2Homonymy relative to a fact p and the corresponding proposition p. 

 

II-1  The two triads:

       -the three contraries: T, Z, non-T & non-Z

       -the three subcontraries:exclusion of non-T & non-Z, non-Z, non-T

II-2 The square, the hexagon, the triangle

 

II-3 Correspondences. Reading of logical propositions

 

III-1 The three pairs of contradictories in the system of natural language

III-2 Importance of contradiction. The paradoxical sign

III-3 The contrary facts, apprehended by the underlying logical system, become contradictory in the system of natural language.

III-4 Natural particulars are saturated with information, logical particular are not.

 

Conclusion.

 

C- Bibliography  Notes Complements

 

 

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27 novembre 2011 7 27 /11 /novembre /2011 14:38

Knog 011 disponible

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27 novembre 2011 7 27 /11 /novembre /2011 14:37

 

grammaire-et-logique.tract-8.over-blog.com

 

  jean-francois.monteil@neuf.fr

 

A chain reaction: the paradoxical sign, the logical hexagon, the discoveries about Aristotle, the bilateral possible, the formula of strict implication p ≡ Lq. For Google's knol.

 

 

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Résumé et Mots clés

Abstract and Key words

 

A-Remarques préliminaires.

   Sur le triangle logique et la rationalisation de la symbolisation scolastique.

 

 

B- L'article proprement dit 

 

I-1  Quantification et matière des propositions étudiées

I-2  Homonymie relative au fait p et à la proposition p correspondante 

 

II-1  Les deux triades :

                 - Les trois contraires:

           T , Z ,   Non-T & Non-Z

           - Les trois subcontaires:

    exclusion de   Non-T & Non-Z, exclusion de Z, exclusion de T 

 II-2  Le carré, l’hexagone, le triangle

 II-3  Correspondances. Lecture des propositions logiques

 

III-1 Les trois couples de contradictoires dans  la langue naturelle

III-2  Importance de la contradiction. Le signe paradoxal

III-3  Les faits contraires appréhendés par le système logique sous-jacent deviennent  des faits contradictoires  dans le système de la langue naturelle

III-4 Les particulières naturelles sont saturées d’information, les particulières logiques ne le sont pas. Les particulières logiques contiennent moins d’information que les particulières naturelles.
Conclusion

C Bibliographie. Notes. Compléments

 

 

 

 

 

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27 novembre 2011 7 27 /11 /novembre /2011 14:36

 

A-   The definition of strict implication given at the beginning of the article is the definition adopted by scholars and must be respected as such.

 

 

 

(84.100.243.150 (talk) 15:11, 8 September 2012 (UTC)) (84.100.243.132 (talk) 08:29, 14 August 2012 (UTC)) In logic, a strict conditional is a material conditional that is acted upon by the necessity operator from modal logic. For any two propositions p and q, the formula (p → q) says that p materially implies q while L (p → q) says that p strictly implies q.

 

The definition of strict implication adopted by the contributors of wikipedia and by John Lyons says that p strictly implies q ,if we have  L (p → q) or ~M (p & ~q), the latter expression being to be read It is im-possible to have together p and not-q.

 

 

L (p → q)and ~M (p & ~q) are equivalent expressions. They represent the strict implication of q by p not only in the articles of wikipedia but also in excellent authors like the John Lyons of Semantics 1. For this reason, I subscribe without hesitation to what Arthur Rubin writes below: It may be that you have a different definition of the strict conditional, but, unless it is published, it has no place in the Wikipedia article. — Arthur Rubin (talk) 09:54, 4 September 2012 (UTC) on, search.

 

L (p → q) and ~M (p & ~q) are equivalent expressions. According to De Morgan's laws, p → q means ~ ( p & ~q). In effect, the material implication of q by p, p → q signifies that one cannot have together p and not-q.

 

p → q signifies therefore that one of two things, either p&q or ~p. For all three conjunctions: p&q, ~p & q, ~p & ~q obviously exclude p & ~q. p&q contains ~ ( p & ~q) and therefore p → q, ~p&q also contains ~ ( p & ~q) and therefore p → q, ~ p & ~q also contains ~ ( p & ~q)and therefore p → q.

 

In wikipedia and John Lyons, L (p → q) as as well as p ⇒ q symbolizes the strict implication , that is, the material implication p → q acted upon by L the necessity operator from modal logic. If in L (p → q), we replace p → q by the equivalent ~ ( p & ~q), we first obtain L ~( p & ~q) to be read It is necessary not to have the conjunction of p and not-q. It is clear that the necessity not to have is equivalent to the im-possibility to have.

 

Thus, instead of L ~( p & ~q) we can write ~M (p & ~q) to be read It is im-possible to have together p and not-q.

 

 

 

 

B- The definition of strict implication given at the beginning of the article is perhaps insufficient

 

 

First remark: to define the strict implication by saying that it is equivalent to ~ M (p & ~q) is deficient in that the impossibility to have both the fact p and the fact not-q may result from the fact that p is im-possible and not from the fact that p is the cause of its effect q.

 

If we have ~Mp  i.e  L~p, if p is im-possible, in other words if not-p is "necessary", if not-p is certain, it is im-possible to have p & q as well as p & ~q.

 

~Mp may be represented by the combination: ~ M (p & q) & ~ M (p & ~q). Therefrom, it clearly appears that ~ M (p & q) and ~ M (p & ~q) are not at all in-compatible. Both are true propositions. if p is im-possible. Hence the necessity of adding Mp to ~ M (p & ~q)to eliminate the spectre of ~Mp.

 

 

But if the first two elements ~ M (p & ~q) and Mp are necessary, they are not sufficient.

 

Associated with ~ M (p & ~q), the second ingredient Mp eliminates the direful spectre of ~Mp im-possibility of p, that is, L~p certainty of not-p. To be able to say that a fact p is the cause of a fact q, it is evident that the fact p must be thought possible. How could we think that p has an effect q if p is said to be im-possible from the start ?

 

It is no less clear that if the fact q is certain in any case, whether p is the case or not-p is the case, it is absolutely im-possible to think that the certainty of the fact q is the effect resulting from the fact p exclusively.

 

~p → M~q is an expression saying that not-p implies M~q the possibility of not-q.

If associated with the conjunction ~ M (p & ~q) & Mp, the expression ~p → M~q efficiently eliminates the second state of things, namely, Lq & Mp. M~p.

 

Lq & Mp. M~p is incompatible with that  strict implication symbolized in good authors like John Lyons by p ⇒ q wrongly held to be equivalent to ~ M (p & ~q).

 

 

 

 

 

 

 

 

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27 novembre 2011 7 27 /11 /novembre /2011 14:36

Indian logic heralds Robert Blanché’s logical hexagon presented in Structures intellectuelles (1966)

 

In La Logique et son histoire d’ Aristote à Russell, published with Armand Colin in 1970, Robert Blanché, the author of Structures intellectuelles ( Vrin, 1966) mentions that Józef Maria Bocheński speaks of a sort of Indian logical triangle to be compared with the square of Aristotle (or square of Apuleius), in other words with the square of opposition. This logical triangle announces the logical hexagon of Blanché. It seems that with this logical triangle, Indian logic proposes a a useful approach to the problem raised by the particular propositions of natural language. If Robert Blanché’s logical hexagon is something more complete and therefore more powerful as regards the understanding of the relationship between logic and natural language, it may be that on a highly important point, Indian logic is superior to that logic proceeding from Aristotle.

 

La logique indienne annonce l’hexagone logique de Robert Blanché présenté en 1966 dans Structures intellectuelles.

 

 Dans La Logique et son histoire d’Aristote à Russell, ouvrage publié chez Armand Colin en 1970, Robert Blanché, l’auteur de Structures intellectuelles, publié en 1966 chez Vrin, mentionne que Józef Maria Bocheński parle d’une sorte de triangle logique indien qu’il convient d’opposer au carré d’Aristote (ou carré d’Apulée), triangle logique qui annonce l’hexagone logique du maître Toulousain. Il semble qu’avec ce triangle logique, la logique indienne propose une approche utile du problème posé par les propositions particulières du langage naturel. Si l’hexagone logique de Blanché est quelque chose de plus complet et donc de plus puissant par son pouvoir d’explication relatif aux relations entre logique et langage naturel, il se peut que sur un point de la plus haute importance, la logique indienne soit supérieure à la logique qui procède d’Aristote.

 

 

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27 novembre 2011 7 27 /11 /novembre /2011 14:34

 

  Utiles précisions sur le De interpretatione à l’origine du carré logique et de la logique modale

 

 

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jean-francois.monteil@neuf.fr

Utiles précisions sur le De interpretatione à l’origine du carré logique et de la logique modale

Le deuxième livre de l’Organon, qui en comporte six comme indiqué ci-dessus, s’appelle Peri hermeneias en grec c’est-à-dire De l’interprétation en français, On interpretation en anglais. L’appellation la plus usuelle chez les érudits, c’est le titre latin De interpretatione. Ce livre introduit les concepts aristotéliciens de proposition et de jugement et étudie au chapitre 7 les quatre propositions marquées destinées à être employées dans le syllogisme. Il est question de la quantité et de la qualité d’une proposition. Pour la quantité, il y a les deux universelles: Tous les hommes sont blancs et Aucun homme n’est blanc, les deux particulières : Quelques hommes sont blancs et Quelques hommes ne sont pas blancs. Pour la qualité, il y a les deux affirmatives: Tous les hommes sont blancs et Quelques hommes sont blancs, les deux négatives: Aucun homme n’est blanc et Quelques hommes ne sont pas blancs. Il est question des relations mutuelles qui peuvent exister entre deux de ces quatre propositions. Les deux universelles sont définies comme mutuellement contraires, les deux particulières comme des subcontraires. Entre deux propositions différant à la fois en quantité et en qualité, il y a une relation de contradiction, ce qui veut dire que chacune équivaut à la négation de l’autre. Ainsi sont contradictoires la particulière affirmative Quelques hommes sont blancs et l’universelle négative Aucun homme n’est blanc. Entre une universelle d’une certaine qualité et la particulière de la même qualité, il y a une relation d’implication en vertu de laquelle l’universelle implique la particulière. Ainsi l’universelle négative Aucun homme n’est blanc implique la particulière négative Quelques hommes ne sont pas blancs. Le De interpretatione est donc important car il est à l’origine du carré logique ou carré d’Apulée. Au chapitre 9, il est question du fameux problèmes des futurs contingents et ce chapitre est suivi d’autres qui sont à l’origine de la logique modale.

 

   

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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25 novembre 2011 5 25 /11 /novembre /2011 17:16

I

Sommaire

Les embarrassants paradoxes de l'implication dite matérielle, paradoxes expliquant le désir chez Clarence Irving Lewis de trouver la formule de l'implication dite stricte

(84.101.36.154 (d) 10 février 2012 à 11:48 (CET)) L'implication au sens traditionnel, dite implication matérielle, impose à l'esprit des paradoxes embarrassants: si une proposition est fausse, elle implique n'importe quelle autre proposition, si une proposition est vraie elle est impliquée par n'importe quelle autre proposition. Pour prendre conscience du problème posé par l'implication au sens traditionnel,il n'est pas mauvais de donner un exemple: Il ne fera pas beau cet après-midi. Tel est le fait considéré. Donc la proposition fausse, il fera beau cet après-midi, implique aussi bien la proposition nous irons à Arcachon que la proposition contradictoire de cette dernière nous n'irons pas à Arcachon. Rappelons la lecture qui est faite de l'implication de q par p: si p, alors q et voyons le résultat quand il est avéré qu'il ne fera pas beau. " Il ne fera pas beau. Donc, s'il fait beau, d'une part nous irons à Arcachon et d'autre part nous n'irons pas à Arcachon". Dans ce qui suit, nous expliquerons pourquoi à partir de la définition de l'implication dite matérielle, on peut arriver à un tel énoncé qui met mal à l'aise, c'est le moins qu'on puisse dire. 

Les embarrassants paradoxes de l'implication dite matérielle, paradoxes expliquant le désir chez Clarence Irving Lewis de trouver la formule de l'implication dite stricte

 

La définition de l'implication stricte donnée sur wikipedia et donnée aussi par John Lyons dans Semantics 1

Elle consiste à dire ceci: le fait p implique strictement le fait q s'il est im- possible d'avoir la conjonction du fait p et du fait non-q. Selon cette définition, p implique strictement q si on peut écrire: ~M (p & ~q) . L'expression ~M (p & ~q) est à lire : ~M il est im-possible, p & ~q d'avoir à la fois p et non-q. Il semble à première vue que cela représente une relation causale entre un fait p et un fait q. Indéniablement, si le fait p est la cause d’un effet, à savoir le fait q, on a nécessairement ~M (p & ~q) impossibilité d'avoir à la fois le fait p et le fait non-q. L'état de choses ~M (p & ~q) est, de toute évidence, une condition nécessaire de l'implication stricte de q par p. L'état de choses ~M (p & ~q) est-il la condition suffisante de l'implication stricte du fait q par le fait p ? La réponse est non. ~M (p & ~q) est seulement l'un des trois ingrédients composant l'implication stricte. Il faut ajouter successivement deux autres ingrédients.  

 

La définition de l'implication stricte donnée sur wikipedia et donnée aussi par John Lyons dans Semantics 1

 

 

 

Mp est le deuxième ingrédient qu'il faut ajouter au premier ingrédient ~M (p & ~q)

Mp c’est-à-dire la possibilité du fait p est le deuxième ingrédient qu’il faut ajouter au premier ingrédient ~M (p & ~q) si l’on veut avoir la formule de l’implication stricte de q par p. Mp possibilité du fait p est le fait contradictoire de ~M p im-possibilité du fait p ou, ce qui revient au même L~p certitude du fait non-p. S’il est certain que le fait p est exclu, s’il est certain qu’on a le fait non-p, si en d’autres termes il est im-possible d’avoir le fait p, il est évident qu’il est im-possible d’avoir la conjonction du fait p avec le fait non-q, il est évident également qu’il est impossible d’avoir la conjonction du fait p avec le fait q. L’impossibilité du fait p : ~M p équivaut à ~M (p & q) & ~M (p & ~q) c’est-à-dire im-possibilité de la conjonction p & q d’une part, im-possibilité de la conjonction p & ~q d’autre part. Il en résulte que si l’on a ~M (p & ~q), im-possibilité de la conjonction p & ~q, cela ne signifie pas forcément que p implique strictement q, que p est la cause de q. Rien en effet ne nous dit que ~M (p & ~q), im-possibilité de la conjonction p & ~q ne provient pas du fait que le fait p est im-possible. Comment p pourrait-il être la cause d’un fait q, s’il est avéré qu’il est im-possible. Pour que p soit pensé comme la cause de q, pour que p implique strictement q, il faut qu’il soit possible. Nous devons donc ajouter au premier ingrédient ~M (p & ~q) un deuxième ingrédient Mp et poser ~M (p & ~q) & Mp. Ce deuxième ingrédient Mp a pour effet d’exclure la séquence ~M (p & q) & ~M (p & ~q), incompatible avec l’implication stricte de q par p puisque en posant la non-réalité du fait p, elle interdit forcément à ce fait p de fonctionner comme cause. ~M (p & ~q) & Mp , la séquence des deux éléments ~M (p & ~q) et Mp, est donc une condition nécessaire de l’implication stricte de q par p. La séquence ~M (p & ~q) & Mp est-elle une condition suffisante pour que p soit pensée comme la cause de q, pour que p implique strictement q ? La réponse est non. 

 

Mp est le deuxième ingrédient qu'il faut ajouter au premier ingrédient ~M (p & ~q)

Necessité du troisième ingrédient éliminant le cas où l'on a Lq certitude du fait q en tout état de cause qu'on ait p ou non-p

Envisageons en effet l’état de choses suivant : le fait q est absolument certain en tout état de cause, que l’on ait le fait p ou que l’on ait l’exclusion du fait p autrement dit le fait non-p. Dans le cas on l’on a Lq certitude de q en tout état de cause, que l’on ait p ou non-p, on a ~M~q im-possibilité du fait non-q car Lq, certitude du fait q, et ~M~q, impossibilité du fait non-q, c’est strictement la même chose. S’il est im-possible d’avoir non-q , il est im-possible que ce non-q soit associé à p, certes, mais il est tout aussi im-possible que ce non-q soit associé à non-p. L’ im-possibilité de non-q : ~M~q équivaut à la séquence disant que sont toutes deux im-possibles la conjonction de non-q avec p et la conjonction de non-q avec non-p. L’im-possibilité de non-q : ~M~q équivaut à ~M (p & ~q) & ~M (~p & ~q). Il en résulte que si on a la séquence ~M (p & ~q) & Mp seulement, l’on est incapable de dire que ce fait représenté par cette séquence ~M (p & ~q) & Mp ne provient pas du fait que l’on a Lq certitude du fait q en tout état de cause, que l’on ait p ou non-p. Il faut donc un troisième ingrédient pour éliminer ce cas où on a Lq, que l’on ait p ou que l’on ait non-p. Si q est certain en tout état de cause, on ne peut absolument pas considérer que cette certitude du fait est l’effet exclusif du seul fait p . Quel est ce troisième élément ? C’est un élément qui dit qu’on peut avoir non-p et que ce non-p est compatible avec q et avec non-q tandis que p, lui, n’est compatible qu’avec p. Impossible d’en dire plus aujourd’hui. Mon conseil pour les gens curieux et pressés. Taper sur Google : strict implication, implication stricte, traité de logique modale, John Lyons Semantics 1 implication.

p ≡ Lq est peut-être l’expression symbolisant l’implication stricte

L’expression p ≡ Lq dit que p équivaut à Lq, la certitude du fait q. La forme développée de p ≡ Lq est (p & Lq) w (~p & M~q, De deux choses l'une, ou bien on a le fait p et dans ce cas Lq, la certitude du fait q, ou bien on a le fait non-p et dans ce cas on a M~q, la possibilité du fait non-q. L'alternative (p & Lq) w (~p & M~q),la forme développée de p ≡ Lq, permet de découvrir les trois ingrédients de la stricte implication de q par p, qui ont été énumérés ci-dessus. Premier ingrédient: ~ M (p & ~q). Deuxième ingrédient: Mp. Troisième ingrédient: ~p → M~q.

Le premier ingrédient ~ M (p & ~q) dit qu'il est impossible d'avoir à la fois p et non-q. Le deuxième ingrédient Mp dit que p est possible et indique ainsi que ~ M (p & ~q) ne résulte pas de ~Mp impossibilité de p. Le troisième ingrédient ~p → M~q dit que le fait non-p implique la possibilité du fait non-q, en d'autres termes, ~p → M~q, ce troisième ingrédient, exclut que l'on ait Lq,certitude de q, en tout état de cause, que l'on ait p ou non-p.

Pour pouvoir attribuer à un fait p le statut de cause par rapport à un fait q, il est clair que le fait p doit être jugé possible. Comment pourrait-on dire que p a un effet q si p est réputé d'emblée im-possible, que l'on ait q ou non-q ? Il est non moins évident que si le fait q est certain en tout état de cause, qu'on ait le fait p ou qu'on ait le fait non-p, il est im-possible de penser que la certitude du fait q est l'effet du seul fait p.

p ≡ Lq, c'est donc la conjonction de trois éléments: ~ M (p & ~q) & Mp & ~p → M~q. Vu que l'équivalence p ≡ Lq contient ces trois éléments, il est probable qu'elle est la formule de l'implication stricte du fait q par le fait p.

Problème de l'implication stricte étudié à la lumière de la logique modale c'est-à-dire à la lumière de tout traité de logique modale accessible grâce à internet

(84.101.36.154 (d) 12 février 2012 à 16:42 (CET))

Les embarrassants paradoxes de l'implication dite matérielle, paradoxes expliquant le désir chez Clarence Irving Lewis de trouver la formule de l'implication dite stricte[modifier]

(84.101.36.154 (d) 10 février 2012 à 11:48 (CET)) L'implication au sens traditionnel, dite implication matérielle, impose à l'esprit des paradoxes embarrassants: si une proposition est fausse, elle implique n'importe quelle autre proposition, si une proposition est vraie elle est impliquée par n'importe quelle autre proposition. Pour prendre conscience du problème posé par l'implication au sens traditionnel,il n'est pas mauvais de donner un exemple: Il ne fera pas beau cet après-midi. Tel est le fait considéré. Donc la proposition fausse, il fera beau cet après-midi, implique aussi bien la proposition nous irons à Arcachon que la proposition contradictoire de cette dernière nous n'irons pas à Arcachon. Rappelons la lecture qui est faite de l'implication de q par p: si p, alors q et voyons le résultat quand il est avéré qu'il ne fera pas beau. " Il ne fera pas beau. Donc, s'il fait beau, d'une part nous irons à Arcachon et d'autre part nous n'irons pas à Arcachon". Dans ce qui suit, nous expliquerons pourquoi à partir de la définition de l'implication dite matérielle, on peut arriver à un tel énoncé qui met mal à l'aise, c'est le moins qu'on puisse dire. La définition de l'implication stricte donnée sur wikipedia et donnée aussi par John Lyons dans Semantics 1[modifier]

Elle consiste à dire ceci: le fait p implique strictement le fait q s'il est im- possible d'avoir la conjonction du fait p et du fait non-q. Selon cette définition, p implique strictement q si on peut écrire: ~M (p & ~q) . L'expression ~M (p & ~q) est à lire : ~M il est im-possible, p & ~q d'avoir à la fois p et non-q. Il semble à première vue que cela représente une relation causale entre un fait p et un fait q. Indéniablement, si le fait p est la cause d’un effet, à savoir le fait q, on a nécessairement ~M (p & ~q) impossibilité d'avoir à la fois le fait p et le fait non-q. L'état de choses ~M (p & ~q) est, de toute évidence, une condition nécessaire de l'implication stricte de q par p. L'état de choses ~M (p & ~q) est-il la condition suffisante de l'implication stricte du fait q par le fait p ? La réponse est non. ~M (p & ~q) est seulement l'un des trois ingrédients composant l'implication stricte. Il faut ajouter successivement deux autres ingrédients. Mp est le deuxième ingrédient qu'il faut ajouter au premier ingrédient ~M (p & ~q)[modifier]

Mp c’est-à-dire la possibilité du fait p est le deuxième ingrédient qu’il faut ajouter au premier ingrédient ~M (p & ~q) si l’on veut avoir la formule de l’implication stricte de q par p. Mp possibilité du fait p est le fait contradictoire de ~M p im-possibilité du fait p ou, ce qui revient au même L~p certitude du fait non-p. S’il est certain que le fait p est exclu, s’il est certain qu’on a le fait non-p, si en d’autres termes il est im-possible d’avoir le fait p, il est évident qu’il est im-possible d’avoir la conjonction du fait p avec le fait non-q, il est évident également qu’il est impossible d’avoir la conjonction du fait p avec le fait q. L’impossibilité du fait p : ~M p équivaut à ~M (p & q) & ~M (p & ~q) c’est-à-dire im-possibilité de la conjonction p & q d’une part, im-possibilité de la conjonction p & ~q d’autre part. Il en résulte que si l’on a ~M (p & ~q), im-possibilité de la conjonction p & ~q, cela ne signifie pas forcément que p implique strictement q, que p est la cause de q. Rien en effet ne nous dit que ~M (p & ~q), im-possibilité de la conjonction p & ~q ne provient pas du fait que le fait p est im-possible. Comment p pourrait-il être la cause d’un fait q, s’il est avéré qu’il est im-possible. Pour que p soit pensé comme la cause de q, pour que p implique strictement q, il faut qu’il soit possible. Nous devons donc ajouter au premier ingrédient ~M (p & ~q) un deuxième ingrédient Mp et poser ~M (p & ~q) & Mp. Ce deuxième ingrédient Mp a pour effet d’exclure la séquence ~M (p & q) & ~M (p & ~q), incompatible avec l’implication stricte de q par p puisque en posant la non-réalité du fait p, elle interdit forcément à ce fait p de fonctionner comme cause. ~M (p & ~q) & Mp , la séquence des deux éléments ~M (p & ~q) et Mp, est donc une condition nécessaire de l’implication stricte de q par p. La séquence ~M (p & ~q) & Mp est-elle une condition suffisante pour que p soit pensée comme la cause de q, pour que p implique strictement q ? La réponse est non. Necessité du troisième ingrédient éliminant le cas où l'on a Lq certitude du fait q en tout état de cause qu'on ait p ou non-p[modifier]

Envisageons en effet l’état de choses suivant : le fait q est absolument certain en tout état de cause, que l’on ait le fait p ou que l’on ait l’exclusion du fait p autrement dit le fait non-p. Dans le cas on l’on a Lq certitude de q en tout état de cause, que l’on ait p ou non-p, on a ~M~q im-possibilité du fait non-q car Lq, certitude du fait q, et ~M~q, impossibilité du fait non-q, c’est strictement la même chose. S’il est im-possible d’avoir non-q , il est im-possible que ce non-q soit associé à p, certes, mais il est tout aussi im-possible que ce non-q soit associé à non-p. L’ im-possibilité de non-q : ~M~q équivaut à la séquence disant que sont toutes deux im-possibles la conjonction de non-q avec p et la conjonction de non-q avec non-p. L’im-possibilité de non-q : ~M~q équivaut à ~M (p & ~q) & ~M (~p & ~q). Il en résulte que si on a la séquence ~M (p & ~q) & Mp seulement, l’on est incapable de dire que ce fait représenté par cette séquence ~M (p & ~q) & Mp ne provient pas du fait que l’on a Lq certitude du fait q en tout état de cause, que l’on ait p ou non-p. Il faut donc un troisième ingrédient pour éliminer ce cas où on a Lq, que l’on ait p ou que l’on ait non-p. Si q est certain en tout état de cause, on ne peut absolument pas considérer que cette certitude du fait est l’effet exclusif du seul fait p . Quel est ce troisième élément ? C’est un élément qui dit qu’on peut avoir non-p et que ce non-p est compatible avec q et avec non-q tandis que p, lui, n’est compatible qu’avec p. Impossible d’en dire plus aujourd’hui. Mon conseil pour les gens curieux et pressés. Taper sur Google : strict implication, implication stricte, traité de logique modale, John Lyons Semantics 1 implication. p ≡ Lq est peut-être l’expression symbolisant l’implication stricte[modifier]

L’expression p ≡ Lq dit que p équivaut à Lq, la certitude du fait q. La forme développée de p ≡ Lq est (p & Lq) w (~p & M~q, De deux choses l'une, ou bien on a le fait p et dans ce cas Lq, la certitude du fait q, ou bien on a le fait non-p et dans ce cas on a M~q, la possibilité du fait non-q. L'alternative (p & Lq) w (~p & M~q),la forme développée de p ≡ Lq, permet de découvrir les trois ingrédients de la stricte implication de q par p, qui ont été énumérés ci-dessus. Premier ingrédient: ~ M (p & ~q). Deuxième ingrédient: Mp. Troisième ingrédient: ~p → M~q.

Le premier ingrédient ~ M (p & ~q) dit qu'il est impossible d'avoir à la fois p et non-q. Le deuxième ingrédient Mp dit que p est possible et indique ainsi que ~ M (p & ~q) ne résulte pas de ~Mp impossibilité de p. Le troisième ingrédient ~p → M~q dit que le fait non-p implique la possibilité du fait non-q, en d'autres termes, ~p → M~q, ce troisième ingrédient, exclut que l'on ait Lq,certitude de q, en tout état de cause, que l'on ait p ou non-p.

Pour pouvoir attribuer à un fait p le statut de cause par rapport à un fait q, il est clair que le fait p doit être jugé possible. Comment pourrait-on dire que p a un effet q si p est réputé d'emblée im-possible, que l'on ait q ou non-q ? Il est non moins évident que si le fait q est certain en tout état de cause, qu'on ait le fait p ou qu'on ait le fait non-p, il est im-possible de penser que la certitude du fait q est l'effet du seul fait p.

p ≡ Lq, c'est donc la conjonction de trois éléments: ~ M (p & ~q) & Mp & ~p → M~q. Vu que l'équivalence p ≡ Lq contient ces trois éléments, il est probable qu'elle est la formule de l'implication stricte du fait q par le fait p. (84.101.36.154 (d) 12 février 2012 à 16:48 (CET))

Suite

Incompréhensible et surtout non sourcé,comme l'affirme le 12 Février 2012 à 14:14‎ le très sérieux Lylvic qui a supprimé le texte de la page article. Taper: implication stricte, strict implication, traité de logique modale.(84.101.36.154 (d) 12 février 2012 à 17:04 (CET)) Enfin cliquer sur (actu | diff) 11 février 2012 à 22:54‎ 84.101.36.154 (discuter)‎ (8 642 octets) (→p ≡ Lq est peut-être l’expression symbolisant l’implication stricte) (défaire) ou (actu | diff) 12 février 2012 à 09:45‎ 84.101.36.154 (discuter)‎ (9 321 octets) (→p ≡ Lq est peut-être l’expression symbolisant l’implication stricte) (défaire)

     
   
           
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